Chères
Musiciennes,
Chers Musiciens,
Voici notre lettre d'information numéro 89 concernant le logiciel musical Pizzicato. Elle est destinée à vous aider à mieux connaître et utiliser Pizzicato. Vous y trouverez diverses rubriques concernant Pizzicato, son utilisation et ses différents aspects, mais également des références au cours de musique, des liens vers d'autres sites musicaux ou encore des nouvelles liées au monde musical.
N'hésitez pas à nous communiquer des informations locales à publier concernant la musique (dates de concerts, festival, exposition, stages musicaux, liens Internet intéressants,...). Vous pouvez aussi nous signaler des difficultés rencontrées avec Pizzicato afin que nous les traitions dans la rubrique des trucs et astuces. C'est votre lettre d'information.
Nous vous souhaitons une bonne lecture.
Cordialement,
Dominique Vandenneucker.
ARPEGE-Musique
29, rue de l'Enseignement
B-4800 VERVIERS
Belgique
Tél/Fax
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Editorial
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Dans notre dernier article, nous avons analysé quelques éléments théoriques permettant d'enrichir un morceau de musique en jouant sur différents plans rythmiques.
Les plans rythmiques sont des éléments rythmiques simples qui se superposent dans une composition musicale, afin de la rendre plus riche. Ils jouent un rôle important dans la création d'atmosphères variées et pour faire évoluer une atmosphère au cours d'une même composition.
L'évolution de l'atmosphère, de l'ambiance au cours d'un morceau est essentielle pour générer de l'intérêt dans une composition musicale. On pourrait même dire que c'est l'essence même de la composition. On transmet une atmosphère, une émotion, puis on la fait varier, on la fait évoluer. On emmène l'auditeur dans un voyage émotionnel, d'ambiance ou de constructions plus intellectuelles, mais on évite de maintenir trop longtemps la même ambiance, sous peine de lasser et d'ennuyer l'auditeur (sauf si le but de votre musique est précisément de générer une atmosphère d'ennui !).
L'essence même de la musique étant le changement, l'art de composer implique l'art d'organiser le changement au cours d'un morceau. Ce changement peut se faire sur tous les plans : mélodie (on alterne la mélodie principale avec des couplets comportant une autre mélodie, on transpose la mélodie, on change d'instrument,...), rythme (on combine les familles d'instruments en harmoniques rythmiques différentes et variées), accords, instruments, effets (crescendo, accélération, staccato, accents, réverbération,...) et forme générale du morceau.
On peut apprendre à planifier une composition musicale simplement en établissant la manière dont l'atmosphère générale va évoluer, puis en précisant étape par étape les détails plus spécifiques de l'oeuvre.
Je vous propose de décomposer un exemple d'une application simple de ces principes, principalement sur base des harmoniques rythmiques, pour créer une courte composition musicale.
1 - Plan général
Etablissons l'objectif général de notre composition.
- Elle sera de courte durée, entre 30 et 45 secondes
- La séquence d'émotions à transmettre sera : calme - introduction progressive d'une tension, d'une crainte jusqu'à un point d'apogée - Soulagement - retour du calme.
Ce cycle général est souvent appliqué dans un roman ou dans un film. Le film commence dans une ambiance normale, la routine. Puis un élément quelconque vient perturber cette routine et emmène le spectateur dans diverses actions qui auront pour but de résoudre la perturbation et de ramener le calme, donc de revenir à la situation de départ. Bien entendu, des milliers d'autres scénarios sont possibles, c'est à vous d'en imaginer.
Pour vous aider, vous pouvez par exemple imaginer une situation de la vie qui s'applique à cette suite d'états. Par exemple, vous vous levez le matin, le soleil illumine votre chambre. Le facteur sonne à la porte, c'est un paquet, vous voyez qu'il s'agit d'un envoi de votre bien aimé(e)... Vous vous rappelez la dispute de la semaine dernière, la tension monte, "oups, quelle tuile va donc me tomber sur la tête...?". Vous signez le reçu, vous rentrez chez vous et vous déballez le paquet à toute vitesse, dans l'angoisse,... Vous lisez la lettre d'accompagnement et voyez qu'elle (il) accepte votre demande en mariage et le paquet est plein de pétales de rose... Ouf, soulagement, le soleil (qui s'était curieusement atténué...) recommence à briller. Libre à vous de trouver un autre exemple qui vous inspire plus !
2 - Plus de détails...
Avant de lancer Pizzicato et de créer une partition vide, prenons le temps de décortiquer cela plus en détails et de définir les instruments et la manière dont on voudrait faire passer cette séquence d'émotions.
- Le calme
Voilà un élément qui, tout en étant explicite, reste malgré tout assez subjectif et donc fort libre (composer c'est être libre de choisir). Les Beatles sont probablement assez calmes comparés à un groupe déchaîné de Metal ou de Hard Rock !
On peut imaginer un calme complet, pratiquement sans le moindre mouvement. Il pourrait s'exprimer par un accord joué avec les cordes de l'orchestre. Un accord de Septième Majeure peut assez facilement exprimer cette atmosphère. L'accord de Septième mineure également. Ecoutez par exemple ceci (Do Maj 7) :
Un léger mouvement peut être introduit en changeant l'accord, ce qui rend l'atmosphère plus intéressante, tout en restant très calme. En voici un exemple :
Un rythme répétitif, utilisant des harmoniques relativement lentes, peut également établir une atmosphère calme, de routine. L'ambiance musicale est alors plus riche et intéressante. Le fait que le rythme se répète de la même manière, en utilisant des éléments rythmiques non agressifs, produit en soi l'idée d'une routine, de quelque chose qui se produit calmement, de manière prévisible. En voici un exemple :
Le facteur "prévisible" s'oppose bien évidemment à un changement brusque, inattendu, qui vient inévitablement rompre le calme. Nous l'utiliserons par la suite.
Dans le cas d'une rythmique calme le choix du tempo a son importance. Le tempo devra être assez lent. Vous n'imagineriez pas une rythmique rapide apporter le calme.
- Commencer le morceau
Voici une question importante : comment commencer un morceau ? Au départ, on a le silence... C'est à dire pas d'atmosphère définie. Il faut rentrer dans l'ambiance demandée, ici le calme. Comment procéder ?
Une fois que vous avez établi une rythmique ou une atmosphère musicale de départ, au moins quatre procédés peuvent être utilisés pour initier une composition.
La première est de simplement commencer le rythme sans transition. On rentre immédiatement dans la première ambiance à exprimer.
La seconde est d'utiliser une augmentation de volume progressive, en partant de zéro et en faisant apparaître la rythmique jusqu'à un volume normal.
La troisième est d'introduire les instruments un par un, pour créer une transition entre le silence et la rythmique. L'auditeur a le temps d'entendre les différents éléments rythmiques se mettre en place pour construire l'ambiance de départ.
La quatrième est de créer une structure musicale de transition, qui annonce la première ambiance, qui forme un "pont" entre le silence et la rythmique de départ. Le terme "pont" est souvent utilisé en musique et il désigne une transition musicale entre deux sections principales.
- Introduction progressive d'une tension, d'une crainte jusqu'à un point d'apogée
Comment augmenter la tension en musique ? Il y a des milliers de façons de procéder.
Sur le plan rythmique, on peut par exemple augmenter la tension comme suit :
- Accélérer le tempo.
- Sans changer de tempo, utiliser des harmoniques rythmiques plus rapides.
- Ajouter un ou plusieurs plans rythmiques qui s'opposent.
Sur le plan harmonique (accords), il y a des accords plus propices à exprimer une tension. L'intervalle de tierce mineure (Do - Mi bémol) introduit une tension, ainsi que la fausse quinte (ou quarte augmentée) par exemple entre Do et Fa#.
En utilisant des accords comportant de plus en plus de ces intervalles, on peut faire monter la tension. L'accord de septième diminuée contient une succession de tierces mineures et donc, par simple addition d'intervalles, des fausses quintes sont également construites, générant une tension intense. Bach l'utilise par exemple à plusieurs reprises dans la Toccata et Fugue en Ré mineur, qu'il résout par un accord de ré mineur ou ré majeur :
- Soulagement - retour du calme
Le terme musical exact est "résolution". Dans le dernier exemple ci-dessus, l'accord de septième diminuée s'installe progressivement en créant la tension. L'accord suivant "résout" cette tension, par un accord qui non seulement n'a plus les intervalles qui produisent la tension, mais les a "résolus" en faisant glisser les notes dissonantes vers des notes qui ne le sont plus, ce qui produit une transition naturelle allant vers une atmosphère plus détendue. L'ambiance calme du début peut reprendre le pas...
Voilà donc comment un travail préparatoire à une composition musicale peut par exemple se dérouler.
Dans notre prochain article, nous verrons comment assembler tous ces éléments pour en faire un tout cohérent et suivi, dans Pizzicato, bien entendu ! (si vous n'avez pas de licence Pizzicato, vous pourrez réaliser l'exemple avec la version de démonstration téléchargeable).
D'ici là, je vous suggère d'imaginer quelques scénarios que vous pourriez mettre en musique vous-même. Bon amusement !
Dominique Vandenneucker
Concepteur de Pizzicato.
Aspects et
applications de Pizzicato...
Découvrir les nombreux aspects et applications de Pizzicato
Réaliser une mesure coupée
Il est parfois utile de couper une longue mesure en deux pour un saut de ligne. Vous pouvez réaliser cela sans problème avec la version Professionnelle de Pizzicato en procédant comme suit (exemple d'une mesure 4/4 à couper en 3 temps + 1 temps)
Insérez d'abord une mesure vide après la mesure en question et dupliquer le contenu de la mesure dans cette mesure vide. Vous obtenez alors deux fois la même mesure. Avec l'outil disposition, arrangez la portée pour que la première mesure soit à la fin de la portée et la seconde au début de la portée suivante.
Dans la première mesure, supprimez le dernier temps
Dans la seconde mesure, supprimez les trois premiers temps
Sélectionnez la première mesure et appelez la fonction "Paramètres des mesures..." dans le menu Édition.
Cochez la case "Durée de la mesure" et placez cette durée à "Fixe" de 3 noires. Cliquez OK
Sélectionnez la deuxième mesure et appelez le même dialogue.
Cochez la case "Durée de la mesure" et placez cette durée à "Fixe" de 1 noire. Cochez la case "Numérotation de la mesure" et choisissez "Mesure non comptée". Cela permet de ne pas comptabiliser cette mesure une seconde fois dans la numérotation. Vous pouvez également lui donner un numéro fixe, égal à celui de la mesure précédente, mais il ne faudra pas oublier qu'en cas d'insertion de mesure, ce numéro ne se décalera pas tout seul. Cliquez OK.
Avec l'outil des barres de mesures et reprises, rendez la barre de mesure de droite invisible dans la première mesure.
Faites de même avec la barre de mesure de gauche de la seconde mesure.
Il ne vous reste plus qu'à justifier les deux moitiés de cette mesure coupée et les notes se disposeront de manière correcte à l'intérieur des deux moitiés. Le jeu MIDI sera également interprété correctement.
Trucs et
astuces de Pizzicato...
Les questions les plus fréquemment
posées sur Pizzicato
Rappel d'une altération déjà à la clef
Pizzicato gère les altérations automatiquement selon les règles communément admises. Lorsqu'une altération est présente à la clef, celle-ci n'est pas redessinée devant la note. De même, lorsqu'une note est altérée dans une mesure, il n'est pas précisé dans la suivante que celle-ci doit reprendre sa valeur de l'armure.
Dans le cas d'une partition didactique pour débutant, il peut être utile de rappeler à l'interprète qu'une altération doit être présente, même si les règles de l'écriture ne le demandent pas explicitement. Deux moyens permettent cela.
D'une part, la palette nommée "Symboles graphiques" comporte des altérations (avec ou sans parenthèses) qui peuvent être placées sur les notes. La différence est qu'elles ne sont que graphiques et n'ont aucun effet sur le jeu de la partition en MIDI. Vous pouvez donc placer un dièse de cette palette sur une note qui est déjà dièse à la clef et Pizzicato l'acceptera. Graphiquement, le symbole est pris en compte pour la justification des notes dans la mesure.
Une autre manière est de déplacer la note verticalement, lui ajouter l'altération puis la remettre à la bonne hauteur. Veillez à déplacer la note à une hauteur où l'altération à ajouter n'appartient pas à l'armure courante. L'altération reste alors avec la note.
Sélectionner les mesures à jouer
En mode linéaire, Pizzicato commencera le jeu de la partition à la première mesure visible. Vous pouvez donc facilement déterminer l'endroit du départ avec l'ascenseur horizontal. En mode page, la première mesure visible est la première mesure de la page. Si vous voulez par exemple écouter plusieurs fois un passage, sélectionnez l'outil curseur et placez celui-ci dans la première mesure à jouer. Le jeu commencera là. Vous pouvez aussi sélectionner la mesure avec l'outil sélection et le jeu commencera à l'endroit de la sélection. Pour répéter un passage plusieurs fois, comptez le nombre de mesures à répéter et cochez la case "Boucler sur X mesures" dans la barre d'outil de la partition. Le passage sera rejoué jusqu'au moment où vous appuyez sur STOP. Dans le dialogue appelé par le bouton "..." juste à côté, vous trouverez d'autres spécifications permettant de déterminer la mesure de départ et de fin pour le jeu.
Le coin
des débutants...
Notions musicales et accès au cours de musique
de Pizzicato
Les armures
La gamme de Do majeur
La série des notes de Do à Do est appelée la gamme de Do majeur. Chaque note de la gamme est appelée un degré de la gamme. Les degrés sont numérotés de 1 à 7 en chiffres romains. La dernière note étant la même que la première (un Do), elle porte également le degré I. Voici la gamme de Do majeur avec ses degrés :
Comme nous l'avions vu, chacune de ces notes correspond à une touche blanche du clavier. Lorsqu'une touche noire sépare deux notes, il y a 1 ton entre ces deux notes et s'il n'y a pas de touche noire, il y a 1/2 ton. Le tableau suivant reprend les degrés de la gamme avec les tons et demi-tons qui les séparent :
Cette succession de valeurs (1,1,1/2,1,1,1,1/2) caractérise la gamme majeure. Dans cet exemple, la première note est le Do et il s'agit donc de la gamme de Do majeur.
La tonalité
Cette gamme définit un contexte de notes que l'on appelle la tonalité de Do majeur ou le ton de Do majeur. Un passage musical écrit en Do majeur utilise uniquement les notes de la gamme de Do majeur, c'est-à-dire les 7 notes ci-dessus en évitant donc les touches noires situées entre elles.
Le principe de la tonalité est donc de limiter les notes utilisables à un moment donné par le discours musical, tout en renforçant l'influence d'autres notes. Le degré le plus important dans une gamme est le premier degré. Dans notre cas, il s'agit de la note Do. Le discours musical utilisera cette note comme point de référence.
Les degrés les plus importants dans la tonalité sont le I, le IV et le V. Les phrases musicales seront construites en prenant ces degrés comme fondation. On retrouvera souvent ces degrés sur les temps forts des mesures. Les phrases musicales auront une tendance à se diriger vers le premier degré de la gamme.
Nous verrons que l'on peut définir et utiliser 12 tonalités différentes. La musique tonale repose sur ce principe d'utilisation d'un contexte de notes avec lesquelles on construit les mélodies et les accords. Au cours d'un morceau, on peut changer de contexte et passer à une autre tonalité. Ce passage d'une tonalité à l'autre s'appelle une modulation.
Théoriquement, dans une oeuvre tonale, il est possible de déterminer dans quelle tonalité on se trouve à chaque endroit de la partition. Pratiquement, il faut bien se rendre compte que ce système de tonalité est un système théorique destiné à expliquer l'usage que les compositeurs ont fait des notes qui sont à leur disposition pour composer. Ce système est très valable pour orienter un compositeur à travers ses premiers pas, mais il ne faut pas le considérer comme une règle stricte que l'on ne peut transgresser.
Toutes les règles que vous trouverez en musique sont la plupart du temps déduites de l'observation de ce qui sonne bien dans les oeuvres musicales. Le compositeur débutant pourra y puiser beaucoup de choses intéressantes qui pourront lui servir de guide pour développer son goût et son inspiration musicale. L'erreur serait alors de considérer ces règles comme des lois absolues et non comme de simples guides. Quand l'inspiration ou le goût vous indique une autre voie à suivre, laissez donc tomber les règles de composition !
Revenons aux tonalités. L'essentiel de la musique dite classique repose sur l'utilisation de la tonalité. La majorité de la musique moderne de variété (rock, jazz, disco, blues, funk,...) est également basée sur la tonalité. La majorité de la musique consommée par notre société moderne est donc une musique tonale.
Il existe bien sûr des styles de musique qui s'échappent complètement de la tonalité et développent des systèmes différents de composition. La musique dite contemporaine crée de nouvelles approches de la musique, du son et de sa notation. Il est intéressant de noter que la plupart des compositeurs de musique contemporaine sont des gens qui ont au départ une bonne connaissance du système tonal, de ses possibilités et de ses limites. On peut l'envisager alors comme une évolution de la musique vers d'autres horizons sonores. Le tout est de communiquer cette musique d'une manière telle qu'elle sera perçue et comprise par la majorité des gens. Ce sera le seul test de succès d'une musique : communique-t-elle quelque chose qui peut être compris ?
Voyons maintenant comment sont définies les autres gammes et tonalités.
...Pour lire la suite, voyez la leçon sur les armures, sur notre site...
Nouvelles
en vrac...
Informations diverses liées à la musique, nouveautés,
agenda,...
EarMaster 5 - Logiciel interactif pour la formation musicale
Si le cours de musique de Pizzicato vous explique en long et en large la théorie musicale et la manière de noter la musique sur papier, il manque néanmoins un élément essentiel : mettre la théorie en pratique.
Comment travailler la justesse, la reconnaissance des intervalles, des accords et des gammes, comment acquérir une précision rythmique ?
Pour cela, nous vous proposons dès maintenant de découvrir le logiciel EarMaster. Les nombreux exercices pratiques proposés vous aideront à :
- Jouer la musique que vous souhaitez.
- Comprendre la musique que vous entendez.
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- Arranger et composer.
Pour une description plus complète, rendez-vous à la page www.arpegemusique.com/earmaster.htm
Vous pouvez commander EarMaster directement sur notre page principale de commande https://arpegemusique.com/acheterfr.php (Mac et Windows, en téléchargement)
Restez connecté(e)s à Pizzicato
Pour votre information, Pizzicato est maintenant présent sur FaceBook et sur MySpace. Faites connaissance avec d'autres utilisateurs de Pizzicato en cliquant sur ces liens.
Toutes les vidéos de Pizzicato sont dorénavant accessibles sur YouTube, sur le canal d'Arpege Musique à la page www.youtube.com/arpegemusic
Pour les nuls en solfège et clavier : la rubrique MUSIC-TOUCH
Avec le logiciel Music-Touch, on n'a qu'à toucher les notes de la partition - sans les connaitre, rien qu'en les voyant - pour les entendre jouer.
Ce "toucher" ne se fait pas avec le bout du doigt (comme au clavier) mais avec le pointeur de la souris. C'est la même chose !
Si l'on reste plus longtemps sur la note, elle sonnera plus longtemps, et si on "pousse plus fort", elle sonnera plus fort. Comme sur un clavier. La partition sert de clavier.
Music-Touch peut aussi être mis à profit pour faire des compositions, - toujours sans connaissance du solfège, ni du clavier, ni de la notation musicale. Il convient en particulier pour composer de la chanson française, au départ de mélodies de base gardées en banque.
Music-Touch ne coûte que 32 euros. Visitez le site sur www.music-touch.com
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Nous recrutons !
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Pizzicato - Mise à jour pour Windows et Mac OS X
Une mise à jour corrective Pizzicato 3.5.1 est disponible sur notre site à la page :
www.arpegemusique.com/clients3.htm
Si vous avez déjà téléchargé Pizzicato 3.5, vous pouvez vous contenter de télécharger et d'installer la mise à jour rapide 3.5.1 qui se trouve dans la seconde partie de la page ci-dessus.
Si vous possédez une ancienne version de Pizzicato et que votre numéro de licence est supérieur ou égal à 15589, vous avez droit à la mise à jour gratuite 3.5. Dans tous les cas, votre dernière mise à jour gratuite peut être téléchargée à la page http://www.arpegemusique.com/clients3.htm
Découvrez les nouveautés de la version 3.5 à la page http://www.arpegemusique.com/manuel35/FR071.htm
Afin de rendre Pizzicato encore plus facile à apprendre et à découvrir, vous pouvez également visionner sur notre site approximativement deux heures quarante minutes de vidéos didactiques sur les principaux aspects de l'utilisation de Pizzicato. Découvrez-les à la page www.arpegemusique.com/videos.htm ou sur YouTube à la page www.youtube.com/arpegemusic
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Fabrice Eulry - MARATHON EN PIANO SOLO - Samedi 11 décembre 2010: à partir de 16 heures au Petit-journal Montparnasse(13 rue du Commandant Mouchotte - 75014 Paris, France) cinq ans après les 24 heures de 2005. Pas de partition pas de drogue, jamais deux fois le même morceau (c'est le plus difficile !) et plus de vingt quatre heures de piano solo sans faire plus de dix minutes de pauses toutes les six heures et sans laisser s'écouler plus de dix secondes entre chaque morceau). Rens. www.fabriceeulry.com
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